Les pouvoirs de notre peau
En tant qu’enfants, nous sommes influencés par ce que nous entendons. La raison en est que notre cerveau fonctionne à une fréquence cérébrale basse.
Si ma mémoire est bonne, Jose Silva disait que nous étions dans la fréquence cérébrale Delta de la naissance jusqu’à l’âge de 3 ans environ.
Ensuite, nous étions dans la fréquence cérébrale Thêta de 3 à 7 ans.
De 7 à 14 ans, nous sommes dans la fréquence cérébrale alpha et à partir de 14 ans, nous sommes dans la fréquence bêta.
Toute information que nous recevons à une fréquence cérébrale basse nous marque davantage.
Il semble que nous ayons tendance à croire sans broncher ce que nous entendons.
Dès mon plus jeune âge, on m’a dit que le sumac vénéneux provoquait des irritations et des démangeaisons si je le touchais.
PERSONNE NE M’A LAISSÉ LE CHOIX DE CROIRE OU NON CETTE AFFIRMATION. J’AI DONC ACCEPTÉ CELA COMME UNE VÉRITÉ.
Chaque été, on me répétait que le sumac vénéneux provoquait beaucoup de démangeaisons, et c’était vrai.
Une trentaine d’années plus tard, j’avais appris à utiliser mon esprit et j’avais décidé d’éliminer les croyances qui ne m’avaient jamais été utiles.
Il y avait beaucoup de sumac vénéneux dans les environs, j’en ai donc trouvé, je l’ai regardé pendant un moment et j’ai dit : « Tu ne peux plus me faire de mal. »
À mains nues, j’ai saisi la vigne et l’ai arrachée du sol. Je fais cela depuis environ 50 ans et je n’ai AUCUN problème.
Je ne vous dis pas de faire cela, mais je l’ai fait. À vous de choisir.
Quand April avait 8 ans, des amis ont amené leurs enfants pour visiter et découvrir la nature.
Pendant une promenade, j’ai demandé aux enfants de s’asseoir pour que je puisse leur parler. Ils l’ont fait, dans une jungle de sumac vénéneux.
Je leur ai demandé combien d’entre eux étaient allergiques au sumac vénéneux. Tous ont levé la main.
Une femme a dit que son fils était tellement allergique qu’il devait aller à l’hôpital s’il le touchait.
Je lui ai dit qu’elle devrait lui apprendre à le reconnaître, car il était entouré de cette plante.
Elle a paniqué.
J’ai dit au garçon qu’il avait le choix : soit il décidait que la plante ne pouvait PAS lui faire de mal, soit il allait à l’hôpital.
Le lendemain, sa mère m’a appelé pour me dire qu’il y avait deux petites taches rouges sur sa main. Il les a regardées et a dit : « Je n’ai pas besoin de les garder. » Elles ont disparu et il n’a plus jamais été allergique au sumac vénéneux.
L’esprit peut accomplir des merveilles.
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